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L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ

La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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Les inventeurs de la grotte Chauvet expriment leur ras le bol....( 10/01/2015)
--> Tiré de: https://www.facebook.com/InventeursGrotteChauvet?ref=ts&fref=ts
Vous trouverez ci joint la copie intégrale de la publication des inventeurs.




Les inventeurs de la grotte Chauvet :
Eliette Brunel, Jean-Marie Chauvet et Christian Hillaire .
Saint Remèze, le 10 Janvier 2015
 
Ras le bol !

 
 
DIFFAMATION-SPOLIATION-ERADICATION
 
 
« Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-après le résumé d’une situation totalement anormale. » c’est ainsi qu’il y a bientôt un an, le 31 janvier 2014, nous avions commencé notre courrier à Monsieur Pascal Terrasse, Président du  syndicat mixte de l’espace de restitution de la grotte Chauvet (ancien Président du Conseil Général de l’Ardèche).
 
Un an plus tard ce Syndicat Mixte crie haro sur nous !
 
Tout s’est passé très vite, un article à charge dans Le Point et Le Figaro, un article pleine page de couverture tout aussi à charge dans le Dauphiné Libéré, une conférence de presse organisée par nos détracteurs en présence de François Jacquard, vice-président du Syndicat Mixte et voilà… les inventeurs de la grotte Chauvet sont dénigrés et la mise en œuvre de l’obligation contractuelle de nous associer à l’espace de restitution  qui avait été relancée par l’inscription de la grotte Chauvet à l’UNESCO,  est une fois de plus écartée  !
Des propos de connotations diffamatoires à notre égard ont paru dans la presse, le 11 décembre 2014 dans le Dauphiné libéré  intitulé « Voici enfin l’histoire vraie de la découverte de Chauvet » et le Point,  sous le sous-titre « Révélations. L’histoire officielle de la grotte Chauvet n’est peut-être pas la vraie...Enquête ».
 
Ces propos ont été largement relayés par tous les journaux et magasines internationaux, nationaux, régionaux ou locaux.
Nos droits de réponse sont censurés ou déformés,  bien loin de faire l’objet d’une telle médiatisation et ne font pas la une des journaux, contrairement aux propos nous discréditant.
 
Les articles, parus le même jour, ne peuvent être le fait du hasard. Les journalistes indiquent avoir appuyé leurs révélations sur une audition de 3 spéléologues, diligentée devant huissier par le Conseil Général de l’Ardèche le 13 septembre 2013.
 
Le président du Conseil général de l’Ardèche nous a dit ne pas être à l’origine de ce PV d’huissier.
Nous avons demandé à plusieurs reprises à Pascal Terrasse de bien vouloir nous fournir ces auditions afin que nous puissions en avoir connaissance, débattre : mais il refuse obstinément de nous le communiquer.
 
D’après ce que nous avons pu comprendre c’est le Syndicat Mixte, qui a commandité et payé cette opération devant huissier qui a eu lieu dans une baraque de chantier dans l’enceinte de l’Espace de Restitution de la grotte Chauvet il y a un an et demi.  
 
Bien sûr, Pascal TERRASSE  s’appuie fort opportunément sur ce PV d’enregistrement réalisé à dessein par ses soins en septembre 2013, pour laisser croire  qu’il  tombe des nues au moment même de valider notre association à la restitution de notre découverte et en prend excuse devant la presse le 15 décembre 2014 pour couper court à toute discussion.
 
  "A partir du moment où d'autres entrent dans le jeu et disent qu'ils sont les inventeurs (découvreurs, ndlr) je ne peux pas négocier, alors qu'il y a un doute qui persiste avec les autres. L'accord est suspendu jusqu'à nouvel ordre", a expliqué Pascal Terrasse, député et président du syndicat mixte chargé de la réalisation de la réplique de la grotte Chauvet (SMERG).
 
C’est effectivement fort pratique lorsque l’on ne veut pas respecter ses obligations. Rien de tel que de tout orchestrer du début à la fin.
 
Nous avons appris, encore par la presse, que pour faire masse et être plus crédibles, nos détracteurs impliquent,  contre leur gré, d’autres personnes qui honnêtement se considèrent seulement comme visiteurs, dont la fille d’Eliette Brunel.
 
Une conférence de presse, organisée  le 15 décembre 2014 dans les bois de Saint-Remèze, (Monsieur François Jacquart servant de guide aux journalistes en perdition) sensée révéler des choses extraordinaires à notre sujet, nous donne finalement  une version totalement incompréhensible et fausse de la soit disant première désobstruction de la grotte Chauvet par nos détracteurs. Le nombre des pseudos inventeurs a varié au cours de cette conférence de presse.
 
La plus grande confusion règne concernant le rôle de Régis Landemaine et Bruno Spérandini, qualifiés de témoins. Nous constatons que ces deux personnes ne font que répéter ce qu’ils ont entendu de la version donnée par Baba (Michel Rosa) quant à son implication sur la découverte de la grotte Chauvet. 
 
Monsieur Jean Marc Pellet présente les pièces distribuées aux journalistes lors de cette fameuse conférence de presse, en libre accès sur son blog.
 
Monsieur Jean Marc Pellet est l’ancien épicier de St Remèze. Ce Don Quichotte d’un nouveau genre avait déjà à l’époque laissé placardé 6 mois durant sur sa vitrine un article clamant que la grotte Chauvet avait servi de planque aux maquisards. « Ces derniers y avaient d’ailleurs caché un canon anti-char et avaient bien remarqué les peintures, mais avaient évidemment autre chose à faire à l’époque » dixit le grand reporter à l’origine de cette perle. Il va sans dire que cet article était totalement infondé et vigoureusement démenti par les maquisards eux-mêmes, forts indignés de se voir mêlés à une idiotie pareille. (… D’ailleurs les études scientifiques ne font état d’aucune trace de roue de canon, ni de semelles à clous… )
 
Dans les textes  présentés dernièrement par Monsieur Jean-Marc Pellet, donc, en libre accès sur son blog ( http://occitan-touareg.over-blog.com/2014/12/ardeche-pour-en-savoir-un-peu-plus-sur-la-decouverte-de-la-grotte-chauvet.html ), et distribués lors de la conférence de presse en présence de François Jacquart, nous lisons :
 
L’après-midi avançant, Régis Landemaine et Bruno Spérandini continuent la désobstruction tout près de la grotte du Planchard  puis ils s’arrêtent car ils ont compris que le boyau n’était qu’un « passe-traou » vers cette grotte.
Cette équipe  délaisse la grotte du Planchard et reporte son intérêt sur la petite cavité́ supérieure repérée par Michel Rosa et décide de tenter le dégagement de l’hypothétique « cheminée d’équilibre ».
Régis Landemaine et Bruno Spérandini ne restent que quelques instants et, vu l’heure, doivent rentrer dans leurs familles.
Deux remarques :
1)      Qu’auraient-ils vu d’un quelconque dégagement  qui n’avait, selon ce texte,  pas encore débuté?
2)      Comment peuvent-ils attester  qu’Eliette Brunel et Jean-Marie Chauvet seraient venus,  plus tard,  voir ce qui aurait été dégagé sur un mètre de hauteur et 6 mètres de longueur ?
… De quoi sont-ils témoins finalement?
Poursuivons la lecture de ce texte pour le moins curieux :
Ce qui reste de cette équipe réduite (Michel Rosa, Sylvane Lucot et Didier Lanthelme) abaisse le sol dans le fond de l’abri, sur un mètre de hauteur, puis dégage un boyau horizontal sur 6 m, délivrant un courant d’air (non perceptible au début du chantier).
Un des trois (Didier Lanthelme) force le passage en reptation pour faire passer les déblais à Michel Rosa, lequel les passe à Sylvane Lucot.
 
Nous ne savons dans quel endroit ils se trouvaient à ce moment-là mais certainement pas dans ce qui deviendra l’entrée de la grotte Chauvet.  Il est à préciser que lors de l’authentification de la découverte, Jean-Clottes a dû pour progresser dans cet étroit boyau vider ses poches, Jean-Pierre Daugas, sur les conseils de Christian, déplacer son embonpoint dans un petit creux du sol pour se dégager, des scientifiques et jusqu’à certains gendarmes, refuser de repasser la chatière au  retour car la seule masse de leur corps obturait tout le conduit et qu’ils n’arrivaient pas à se dégager pour avancer.
Les archéologues et autres témoins officiels (préfet ou sous-préfet de l’époque) ne sont peut-être pas des spéléologues aguerris. Mais on ne peut ajouter de l’espace où il n’y en a pas, et ces personnes pourraient  témoigner, pour être restés quasiment coincées, que l’on se mouvait avec les plus grandes difficultés dans le boyau et qu’il n’y avait pas le moindre centimètre pour se faire passer les remblais. Il fallait entièrement ressortir à chaque fois. 
Régis Landemaine et Bruno Spérandini ne restent que quelques instants et, vu l’heure, doivent rentrer dans leurs familles.
……Quid de la cohérence entre ce « vu l’heure » que l’on aurait tendance à imaginer « avancée » puisque nécessitant le retour en famille et le « fin de journée » de la phrase suivante. Pendant ce laps de temps non précisé, une galerie de 1 m de haut et six mètres de long aurait été dégagée ?
A la fin de la journée, le groupe s’éparpille pour regagner « ses pénates » ; avant de partir, Jean-Marie Chauvet et Éliette Brunel-Deschamps viennent voir ce qui a été dégagé sans leur participation ; tout en restant à l’entrée (dans le vestibule), ils entendent clairement ce que dit Didier Lanthelme : « il y a du courant d’air et on voit du « noir » derrière la stalactite ». Tout le monde acte qu’il faudra revenir pour éclater cette stalactite afin de voir ce que donnerait le « trou de Baba » ; c’est ainsi que dès lors ce trou sans aucune importance à cette heure est appelé, en l’absence d’autre dénomination plus « géographique ».
Eliette et Jean-Marie ne pouvaient rien entendre, puisque après avoir quitté les lieux en compagnie de Sylvanne, ils ont passé l’après-midi… dans la partie basse du cirque d’Estre. 
 
Nous affirmons que la déclaration faite 20 ans après, précisant que Baba, Didier et Sylvanne auraient creusé  sur un mètre de profondeur et 6 mètres de longueur dans le boyau  menant à la grotte Chauvet est
                un pur mensonge et s’en servir comme tel, un acte malveillant,
à moins que leur témoignage n’ait été totalement déformé dans le texte en question, auquel cas nous leur demandons de rétablir immédiatement la vérité. 
Cela aurait été fort pratique de trouver une désobstruction aussi avancée, mais  lorsque le 18 décembre 1994 nous sommes revenus tous les trois dans ce qui deviendra le vestibule de la grotte Chauvet, tout le travail restait à faire.
Le creusement que nous avions effectué au printemps, avant que Baba ne s’impatiente  ne dépassait pas un mètre de longueur pour buter sur une étroiture de 8 cm de haut et ne laissait rien présager d’évident. C’est bien pour cela que personne ne s’y était acharné ce jour-là, et qu’en six mois personne n’y avait touché.
 
AUCUN spéléo un peu avisé  n’aurait laissé passer  plus de 6 mois s’il avait vu le noir derrière une concrétion … dans une galerie avec du courant d’air.
 
Durant  plusieurs mois nous n’avions eu aucune nouvelle de Baba, Sylvanne ni Didier, nous ne les avons pas rencontrés une seule fois en Ardèche,  nous ne nous en sommes pas inquiétés, c’était chose courante,  ne faisant pas partie des mêmes clubs, aucun programme n’était affiché, chacun ayant toute liberté sur ses allées et venues de prospection en France comme à l’étranger, nous rencontrant au gré du hasard …Il n’y avait donc pas plus de raison que nous les appelions ce 18 Décembre que le week-end d’avant, alors que nous étions déjà dans ce même secteur. (Les gendarmes de l’époque auraient pu en témoigner, contrairement à la saison estivale, les 3 seuls véhicules sur le même parking à cette époque de l’année étaient les nôtres.)
 
On ne peut pas refaire l’histoire. 
 
Au printemps, alors que nous étions venus en ces lieux leur montrer les grottes ornées que nous avions découvertes et déclarées à la DRAC Rhône-Alpes quelques mois auparavant,   nous étions effectivement passés par ce vestibule, rapidement abandonné sur les mots de Baba «  des courants d’air comme celui-là on en connaît plein les gorges… On va pas y passer la journée ».
Baba et Didier s’étaient  ensuite activés pour ouvrir une galerie après la grotte-bergerie du Treuil  à 60 mètres de l’entrée de la future grotte Chauvet.  La  description qui est faite de la désobstruction que nous lisons dans la presse du « trou de Baba », ne correspond en rien à des travaux faits ce jour-là dans ce qui deviendra le sas d’entrée de la grotte Chauvet, mais cette galerie « boyau horizontal sur 6 mètres de longueur » correspond à celle qu’ils ont réellement ouvert dans l’après-midi et qui retombe à l’arrière de la grotte du Treuil. Galerie qui a été rebouchée ultérieurement, par mesure de sécurité par les ouvriers du chantier, lorsque cette cavité est devenue le local technique de la  grotte Chauvet, sans aucune communication avec cette dernière. 
Cette même après-midi, tous les 3, Jean-Marie, Eliette et Sylvanne Lucot-Rosa nous avions  croisé dans le bas de la descente avant d’aller gratter un porche d’où nous sommes ressortis couverts de puces, Bruno Spérandini et Régis Landemaine qui montaient pour retrouver Baba et Didier.
On ne voit pas comment Sylvanne Lucot-Rosa qui était avec Eliette et Jean-Marie dans le bas des falaises et qui ne les a plus quittés, pouvait se trouver en même temps en train de sortir des déblais dans un autre trou des centaines de mètres plus loin et plus haut avec Didier et Baba !
 
En fin d’après-midi, avec Baba et Didier, nous nous sommes tous les 5 retrouvés directement aux voitures.
Ces derniers nous ont tout simplement expliqué qu’ils avaient ouvert un trou souffleur après la grotte du Treuil, qu’ils avaient creusé une galerie et cru faire de la première car le plafond était marqué par des traces de charbon de bois, mais que malheureusement ils avaient fait la jonction avec la grotte du Treuil. Nous n’avons pas revu Bruno Spérandini et Régis Landemaine  qui étaient déjà repartis.

Monsieur Yves Deniau, à la lecture de l’article du blog de Jean Marc Pellet, est venu témoigner sur ce même blog d’un comportement contestable de la part de Baba concernant une autre découverte, plus récente.
Celui-ci s’est en effet proclamé seul inventeur de la grotte de la Bartade, belle rivière souterraine sur St Remèze, titre contesté par Monsieur Deniau qui a pénétré dans la grotte de la Bartade avant Michel Rosa. Baba, bien qu’étant un spéléologue passionné, serait-il coutumier du fait de « réajuster » les histoires… ?
 
… « Suite à cette découverte monsieur Rosa s’est  permis de me mettre à l’écart de la  découverte en déclarant à qui veut l’entendre qu’il été le seul inventeur de la bartade.
Je viens donc m’insurger et indiquer que je suis bien le premier à être entré dans la galerie suivi de monsieur Rosa pas à l’aise dans les gaz carbonique… »
 
Se prétendant l’une des trois personnes ayant eu l’intuition de l’existence de la grotte Chauvet avant sa découverte, et donc inventeurs, M Rosa s’est présenté à l’émission des Grosses têtes comme étant le seul inventeur.
 
En tout état de cause, une « intuition », une hypothèse, n’équivalent pas à pouvoir se prévaloir de la qualité d’inventeur.
 
Passons au groupe des invités :
 
Il est intéressant de remarquer que seuls deux sur quatre invités revendiquent un inexistant statut de co-explorateurs (ou co-inventeur ?). Néanmoins il faut signaler que de manière abusive, pour cautionner leurs revendications, les deux réclamants ont entraîné l’ensemble des invités, sans leur accord, dans leurs démarches.
Inviter à venir voir ce que nous avons découvert ne confère pas la qualité d’inventeur aux invités.
 
Passons aux déclarations  fracassantes de la presse :
 
Un pacte secret... Un lourd secret…
C’est quoi cette histoire du soit disant pacte secret inventé de toute pièce ? Nul pacte  secret pour éviter une faute professionnelle à Jean-Marie, nous avons déclaré la découverte conformément à la loi aux autorités et dès le lendemain matin.
Cette découverte s’inscrit dans le titre III de la loi du 27 septembre 1941 sur les découvertes fortuites.
Quant à la rumeur prétendant que Christian Hillaire  a été rajouté comme troisième inventeur pour des raisons privées, on tombe carrément dans le « people ». Il est facile de comprendre le but à atteindre puisque Christian a toujours été considéré comme le plus  coriace des trois lorsqu’il s’agit de mener des négociations. Son absence en arrangerait plus d’un, notamment au sein du Syndicat Mixte.
 
Rien ne nous a préparé à être sous les feux de la rampe et encore moins voir notre nom sali. Notre petite notoriété n’est pas un choix de carrière. Nous n’avons pas le cuir de politiciens retors ou la prestance de stars du showbiz. Nous sommes des spéléos ayant réalisé une découverte hors norme. Découverte sans doute trop grosse pour résister aux jalousies et aux histoires d’amitié que nous pensions sincères.  
 
Aujourd’hui d’anciens amis sont instrumentalisés pour nous décrédibiliser. D’anciens amis qui sont devenus nos détracteurs et qui nous  font passer pour des voyous, des personnes indignes de confiance, des menteurs, des malhonnêtes. Mentent-ils sciemment ou bien s’abusent-ils eux-mêmes ? Le secteur est absolument truffé de petites  anfractuosités et départs de grottes. Il est si facile de faire erreur. Mais quand même… Croient-ils réellement ce qu’ils racontent ? Baba aurait-il continué à nous côtoyer plusieurs années après la découverte si nous avions agi comme il le raconte ? Peut-être n’ont-ils tout simplement pas la force de rétablir leur histoire écrite par d’autres…. !
 
~ Ah oui, c’est vrai, il semblerait que nous les ayons menacés ~
 
Un écran de fumée :
 
Du vent toutes ces histoires, tous ces témoignages, toutes ces revendications d’un statut réclamé par nos détracteurs  qui n’existe pas. 
Nous subissons une cabale orchestrée par des membres du syndicat mixte notamment pour couper court à la mise en œuvre mainte fois retardée de l’obligation de nous associer à l’espace de restitution  qu’ils ne désirent pas voir aboutir au profit d’intérêts particuliers qui ne tarderont sans doute pas à émerger.
 
Nous en resterons là pour aujourd’hui en rappelant simplement que :
 
nous sommes bien les trois inventeurs de la grotte Chauvet pour l’avoir découverte le dimanche 18 décembre 1994 dans le cadre de la loi et de nos activités spéléologiques privées.
 
NON, nous ne sommes pas des pourris, ni des menteurs, ni des escrocs, ni des personnes sans scrupules ni conscience. Mais il est tellement plus simple de nous faire passer comme tels.
 
À vous tous qui relayez des informations, faites qu’en France la loi du plus malhonnête ne soit pas la plus forte.
 
Eliette Brunel, Jean-Marie Chauvet et Christian Hillaire .
Ecrit par Communiqué Inventeurs grotte Chauvet, le Vendredi 9 Janvier 2015, 20:30 dans la rubrique GROTTE CHAUVET.
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