L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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Achats de terrains par le Conseil Général selon le principe des vases communicants?
On peut comprendre que le conseil général ait cru bon d'acheter des terrains sur le site du premier projet E R G C, pour permettre de le réaliser, mais quelles sont les raisons des autres projets d'acquisitions?
A l'époque du premier projet E R G C, nous avions eu l'écho d'un projet d'acquisition d'un camping sur la rnga et d'une maison ( Celle de suzanne) située à côté en bord de route, sans bien comprendre pourquoi .
Depuis, par dépit de ne pouvoir réaliser "La réplique de chauvet " sur la basse vallée de l'IBIE, le conseil général a décidé d'y faire une zone N2000. En effet,ne sachant plus que faire de ses terrains le CG a accepté de satisfaire les revendications des écologistes opposés au premier projet en ce lieu, et par la même occasion, s’attirer leurs bonnes grâces pour le second projet.
Depuis, nous avons eu confirmation de l'achat du camping de Tourre (80 emplacements) par le conseil général, au titre des espaces naturels sensibles. Depuis les bâtiments ont été pillés ( sport local) et les terrains sont envahis par la broussaille.
Acheter des terrains exempts d'activités lorsque les gestionnaires y maltraitent la nature,on pourrait comprendre. Mais acheter un outil touristique pour en détruire l'activité, refuser d'en faire un débarcadère à l'usage de tous, et y laisser pousser la broussaille ça rime à quoi?.
Peut on trouver une explication dans le principe des vases communicants: quand on consomme de l'espace naturel pour y développer une activité touristico-culturelle( chauvet ) il faut "compenser" avec des territoires à usage commercial,pour y faire l'inverse (retour à la nature).
.Qui est demandeur de ce système?
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A l'époque du premier projet E R G C, nous avions eu l'écho d'un projet d'acquisition d'un camping sur la rnga et d'une maison ( Celle de suzanne) située à côté en bord de route, sans bien comprendre pourquoi .
Depuis, par dépit de ne pouvoir réaliser "La réplique de chauvet " sur la basse vallée de l'IBIE, le conseil général a décidé d'y faire une zone N2000. En effet,ne sachant plus que faire de ses terrains le CG a accepté de satisfaire les revendications des écologistes opposés au premier projet en ce lieu, et par la même occasion, s’attirer leurs bonnes grâces pour le second projet.
Depuis, nous avons eu confirmation de l'achat du camping de Tourre (80 emplacements) par le conseil général, au titre des espaces naturels sensibles. Depuis les bâtiments ont été pillés ( sport local) et les terrains sont envahis par la broussaille.
Acheter des terrains exempts d'activités lorsque les gestionnaires y maltraitent la nature,on pourrait comprendre. Mais acheter un outil touristique pour en détruire l'activité, refuser d'en faire un débarcadère à l'usage de tous, et y laisser pousser la broussaille ça rime à quoi?.
Peut on trouver une explication dans le principe des vases communicants: quand on consomme de l'espace naturel pour y développer une activité touristico-culturelle( chauvet ) il faut "compenser" avec des territoires à usage commercial,pour y faire l'inverse (retour à la nature).
.Qui est demandeur de ce système?
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Ecrit par nous écologistes de terrain, le Mercredi 6 Février 2013, 19:24 dans la rubrique Maîtrise territoire.
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