L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ

                                                                                              28/09/12

                                                                   A Mesdames et Messieurs les maires et élus

                                                                       Des communes de la vallée de l’IBIE

Objet : notre diagnostic et nos solutions pour la vallée de l’IBIE

Madame, Monsieur

Nous vous proposons un document qui fait la synthèse de tout ce que nous avons lu et entendu depuis l’annonce de l’opération de protection et de mise en valeur de la vallée de l’Ibie. Notre démarche se limite à évoquer les problèmes majeurs auxquels sont confrontés les propriétaires de la vallée de l’IBIE ainsi que leurs causes et à ébaucher des solutions.

Nos faibles moyens ne nous permettent pas de vous adresser personnellement  ce document de 7 pages. Vous trouverez donc  ce document sur notre site :    dentderez.joueb.com

Nous avons  une requête à formuler, qui consiste à vous demander de nous apporter toute la lumière en ce qui concerne la loi sur l’eau et les cours d’eaux. Si nous vous demandons cela, c’est qu’il existe des anomalies entre  la loi française et son  application locale. Pour ne prendre qu’un exemple celui d’un propriétaire doublement verbalisé sur le territoire de l’arrêté de biotope de la basse vallée de l’Ibie,  pour avoir ramassé du bois mort (interdit par cet arrêté) et pour cela avoir utilisé un véhicule  dans le lit de la rivière (interdit par la loi Lalonde), alors que la loi  du 30/05/08 fait obligation au propriétaire d’enlever les végétaux et autres corps flottants qui encombrent le lit des rivières ( ce qui parait être logique pour éviter la formation de barrages) ; il est temps de mettre un terme à ces confusions.

Il y a sûrement au niveau départemental des spécialistes compétents pour faire le point :  sur les règlements et les obligations de chacun : riverains, communes, département et gestionnaires ;  et aussi sur  les conditions  des contrats qui lient ces quatre corporations. 

Pour finir, notre souhait le plus cher, toutes corporations confondues, est,  que ceux qui vont décider du sort de la vallée de l’IBIE s'attachent à solutionner les problèmes existants avant de se lancer dans des opérations qui ne feront qu’amener d’autres soucis.

Recevez Madame,Monsieur nos cordiales salutations.