L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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Un camping gratuit dans les Gorges de l'Ardèche?
Gratuit, si si gratuit , d'ailleurs il n'y a qu'un seul camping gratuit dans les gorges de l'Ardèche...
Un vrai camping au bord de l'eau qui était exploité il y a encore quelques années par des privés et qui est maintenant la propriété du département. Ce camping est aujourd'hui désaffecté, on devrait plutôt dire "désaffectionné" tant les nouveaux acquéreurs s'en tamponnent et pas que le coquillard ( ) : après avoir détruit l'activité commerciale ce fut le tour des bâtiments. Pour la petite histoire, ils n'ont même pas conservé un élément aujourd'hui devenu incontournable dans nos habitudes de confort et et d'hygiène, en un mot un "chiot" qui aurait pu rendre service aux milliers de gens qui font la descente à pied ou en bateau. Cela nous laisse supposer que c'est pour mettre la pression sur les "loueurs et campings voisins, obligés de secourir les gens dans le besoin" ou bien pardonnez nous l'expression: pour "em...der" les autres riverains et les inviter (à nouveau) à se débarrasser de leurs terrains, lassés qu'ils sont, de les retrouver de ce fait régulièrement "pollués"...
Nous donnerons juste un conseil à l'attention des usagers qui envisagent de descendre l'Ardèche: prenez vos précautions, ou bien une bonne dose de constipant, car il n'y a que deux toilettes publiques dans les gorges. Allez tant qu'à faire, un autre conseil: évitez le stress pour ses effets laxatifs.
Ce camping est paradisiaque, et depuis qu'il est à l'abandon, c'est un lieu calme ( l'accès est condamné par une barrière non vérouillée et de la rubalise ), ce lieu est devenu un refuge: surtout pour la broussaille, mais aussi pour les grillons et les cigales ( alors qu'il ne l'était pas avant et pourtant c'est pour sa richesse faunistique et floristique qu'il a été acquis) et c'est enfin un havre pour les campeurs improvisés.
En cette période de crise du "logement estival les pieds dans l'eau à un prix convenable", certains on trouvé ici un refuge ombragé, très abordable, idéal pour y passer l'été. Lorsque vous vous avancez dans les sous bois, vous vous apercevez que les locataires qui se sont invités ici, ont fait preuve de mimétisme en intégrant leur abri à la nature, si bien que leur présence passe presque inaperçue ( sauf quand ils s'invitent pour faire la fête). Certains installés pour un long séjour, ont poussé le raffinement jusqu'à se fabriquer un coin d'aisance . N'est ce pas un endroit merveilleux : gratuité, calme, ombre ou soleil , pas de contraintes , personne ne vient vous inquiéter...Les deux seuls petits désagréments, sont que la grandiose salle de bain est un peu loin du bois ( l'Ardèche est à une cinquantaine de mètres) et que pour des raisons de sécurité, il est interdit de faire du feu alors qu'il y a sur place de quoi l'alimenter.
Pourquoi les Ardéchois se priveraient ils de séjourner ici, ils sont ici un peu chez eux étant donné que ces terrains sont la propriété du département. Si on se fie au recencement, il y a 324885 Ardéchois, et ils sont forcément copropriétaires des biens acquis par le conseil général avec l'argent de leurs impôts. Il nous semble que venir sur des terres dont on est copropriétaire pour s'assurer: qu'il en est fait bon usage, que la gestion qui en est faite est saine, et surtout le dire, devrait être un DEVOIR pour CHAQUE ARDÉCHOIS.
Dans le passé le camping était payant et autorisé, aujourd'hui le camping est gratuit mais interdit par la réglementation de la réserve , si vous campez et que vous vous faites remarquer, il vous en coûtera une invitation à déguerpir et peut être un pv .
NB nous n'avons pas indiqué le nom ni l'emplacement du camping en question, et nous avons attendu la fin de la saison pour publier cet article, pour éviter un afflux qui serait problématique, et par respect pour les voisins.
NB nous ne pouvons être qu'inquiets quand on apprend que le département veut acquérir le pont d'arc et ses commerces, et que l'on voit le sort incertain réservé à ce camping dont nous venons de parler, et aussi à la maison voisine ( tous deux acquis par le département), maison dont les ouvertures ont été murées mais dont la terrasse couverte est squattée
Un vrai camping au bord de l'eau qui était exploité il y a encore quelques années par des privés et qui est maintenant la propriété du département. Ce camping est aujourd'hui désaffecté, on devrait plutôt dire "désaffectionné" tant les nouveaux acquéreurs s'en tamponnent et pas que le coquillard ( ) : après avoir détruit l'activité commerciale ce fut le tour des bâtiments. Pour la petite histoire, ils n'ont même pas conservé un élément aujourd'hui devenu incontournable dans nos habitudes de confort et et d'hygiène, en un mot un "chiot" qui aurait pu rendre service aux milliers de gens qui font la descente à pied ou en bateau. Cela nous laisse supposer que c'est pour mettre la pression sur les "loueurs et campings voisins, obligés de secourir les gens dans le besoin" ou bien pardonnez nous l'expression: pour "em...der" les autres riverains et les inviter (à nouveau) à se débarrasser de leurs terrains, lassés qu'ils sont, de les retrouver de ce fait régulièrement "pollués"...
Nous donnerons juste un conseil à l'attention des usagers qui envisagent de descendre l'Ardèche: prenez vos précautions, ou bien une bonne dose de constipant, car il n'y a que deux toilettes publiques dans les gorges. Allez tant qu'à faire, un autre conseil: évitez le stress pour ses effets laxatifs.
Ce camping est paradisiaque, et depuis qu'il est à l'abandon, c'est un lieu calme ( l'accès est condamné par une barrière non vérouillée et de la rubalise ), ce lieu est devenu un refuge: surtout pour la broussaille, mais aussi pour les grillons et les cigales ( alors qu'il ne l'était pas avant et pourtant c'est pour sa richesse faunistique et floristique qu'il a été acquis) et c'est enfin un havre pour les campeurs improvisés.
En cette période de crise du "logement estival les pieds dans l'eau à un prix convenable", certains on trouvé ici un refuge ombragé, très abordable, idéal pour y passer l'été. Lorsque vous vous avancez dans les sous bois, vous vous apercevez que les locataires qui se sont invités ici, ont fait preuve de mimétisme en intégrant leur abri à la nature, si bien que leur présence passe presque inaperçue ( sauf quand ils s'invitent pour faire la fête). Certains installés pour un long séjour, ont poussé le raffinement jusqu'à se fabriquer un coin d'aisance . N'est ce pas un endroit merveilleux : gratuité, calme, ombre ou soleil , pas de contraintes , personne ne vient vous inquiéter...Les deux seuls petits désagréments, sont que la grandiose salle de bain est un peu loin du bois ( l'Ardèche est à une cinquantaine de mètres) et que pour des raisons de sécurité, il est interdit de faire du feu alors qu'il y a sur place de quoi l'alimenter.
Pourquoi les Ardéchois se priveraient ils de séjourner ici, ils sont ici un peu chez eux étant donné que ces terrains sont la propriété du département. Si on se fie au recencement, il y a 324885 Ardéchois, et ils sont forcément copropriétaires des biens acquis par le conseil général avec l'argent de leurs impôts. Il nous semble que venir sur des terres dont on est copropriétaire pour s'assurer: qu'il en est fait bon usage, que la gestion qui en est faite est saine, et surtout le dire, devrait être un DEVOIR pour CHAQUE ARDÉCHOIS.
Dans le passé le camping était payant et autorisé, aujourd'hui le camping est gratuit mais interdit par la réglementation de la réserve , si vous campez et que vous vous faites remarquer, il vous en coûtera une invitation à déguerpir et peut être un pv .
NB nous n'avons pas indiqué le nom ni l'emplacement du camping en question, et nous avons attendu la fin de la saison pour publier cet article, pour éviter un afflux qui serait problématique, et par respect pour les voisins.
NB nous ne pouvons être qu'inquiets quand on apprend que le département veut acquérir le pont d'arc et ses commerces, et que l'on voit le sort incertain réservé à ce camping dont nous venons de parler, et aussi à la maison voisine ( tous deux acquis par le département), maison dont les ouvertures ont été murées mais dont la terrasse couverte est squattée
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