L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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Le syndicat mixte des gorges, démolisseur de cabanes , va t il poursuivre sa démarche sécuritaire?
L'an dernier, une cabane vieille d 'une trentaine d'années bâtie sur une propriété privée dans la RNGA a été détruite par décision administrative. Cette cabane présentait un "risque" pour " les milliers de personnes " qui se baladent à proximité de cette cabane. C'était une info du dauphiné du 1° avril 2013.
Un jour pareil, on aurait pu penser à un poisson d'avril à la lecture des circonstances de cette décision de démolition: une cabane sise sur une propriété privée présentait un risque pour ceux qui randonnent a proximité, (proximité est un euphémisme pour dire relativement loin) pour laquelle le préfet a pris une ordonnance ce démolition, destruction sur le terrain d'autrui, sans avoir l'avis du propriétaire , on croit rêver. Et bien ce n'était pas un rêve, on a même eu droit à la photo des participants au massacre.
Vous noterez que le but de cette opération était la SÉCURITÉ des randonneurs .
Aujourd'hui il y a un projet de laisser sur pied les arbres morts, moribonds et sénescents, sans que cela ne suscite la réprobation ni la moindre réaction du syndicat mixte des gorges. Tous les organismes forestiers mettent en garde les propriétaires forestiers au sujet de la dangerosité de ces arbres instables sujets à chute et déracinement et insistent sur les dommages qu'ils peuvent causer sur les passants ou les biens situés à proximité. Les assurances ne couvrant pas les dégâts des arbres âgés dont la chute risque d'empiéter sur les chemins, donc les propriétaires sont tenus de les couper ou d'interdire l'accès du chemin.
Il y a quelque chose d'INCROYABLE, c'est de ne pas appliquer la même LOGIQUE à ces deux opérations. Qui ne dit mot consent, le SGGA est donc favorable à cette seconde opération.
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Un jour pareil, on aurait pu penser à un poisson d'avril à la lecture des circonstances de cette décision de démolition: une cabane sise sur une propriété privée présentait un risque pour ceux qui randonnent a proximité, (proximité est un euphémisme pour dire relativement loin) pour laquelle le préfet a pris une ordonnance ce démolition, destruction sur le terrain d'autrui, sans avoir l'avis du propriétaire , on croit rêver. Et bien ce n'était pas un rêve, on a même eu droit à la photo des participants au massacre.
Vous noterez que le but de cette opération était la SÉCURITÉ des randonneurs .
Aujourd'hui il y a un projet de laisser sur pied les arbres morts, moribonds et sénescents, sans que cela ne suscite la réprobation ni la moindre réaction du syndicat mixte des gorges. Tous les organismes forestiers mettent en garde les propriétaires forestiers au sujet de la dangerosité de ces arbres instables sujets à chute et déracinement et insistent sur les dommages qu'ils peuvent causer sur les passants ou les biens situés à proximité. Les assurances ne couvrant pas les dégâts des arbres âgés dont la chute risque d'empiéter sur les chemins, donc les propriétaires sont tenus de les couper ou d'interdire l'accès du chemin.
Il y a quelque chose d'INCROYABLE, c'est de ne pas appliquer la même LOGIQUE à ces deux opérations. Qui ne dit mot consent, le SGGA est donc favorable à cette seconde opération.
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Ecrit par nous, le Jeudi 23 Janvier 2014, 01:01 dans la rubrique Rnga + Sgga.
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