L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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Le syndicat mixte grotte Chauvet et le culte du secret, ou plutôt des secrets.
"Que contient le protocole signé le 15février 2000 entre l'État et les découvreurs? Celui ci DEVAIT RESTER SECRET." C'est une info collectée et dévoilée par le dauphiné en date du 18 janvier2014.
RESTER SECRET? Pourquoi garder secret un accord qui confirme les droits des inventeurs, et précise les conditions financières qui lient les découvreurs et l'état via le département, alors que le publier, c'est dans la logique et la normalité des choses? Pourquoi , et bien vous avez eu la réponse à plusieurs reprises dans la presse, laisser croire que TOUT le côté pécunier de l'affaire puisse être négocié, alors que pour l'intéressement des découvreurs à l'exploitation de l'espace de restitution, il est fixé par cet accord de février 2000.( et ses modalités d'application).
Nous avons pu nous procurer cet accord de février 2000, avec difficultés mais sans soudoyer personne, et nous l'avons publié, pour que la lumière soit faite sur cette opération.
Et l'AUTRE SECRET qui lui s'est encore moins ébruité.
C'est celui qui lie le smergc et les écologistes spécialistes des migrateurs qui ont fait migrer l'espace de restitution depuis les bords de l'ibie jusqu'en haut du Razal, et lui ont mis un fil à la patte...
Un est connu: le classement du premier site choisi pour construire l'espace de restitution (sur la vallée de l'ibie) d'abord en zone de protection de biotope, puis en zone NATURA 2000, c’est le département qui ne sachant plus que faire de ses terrains a accepté de satisfaire les revendications des écologistes opposés au premier projet ERGC en ce lieu, et par la même occasion, s’attirer leurs bonnes grâces pour le second projet.
Et puis il y a des décisions qui dépassent l'entendement, qui font fi de la logique, et pour lesquelles on se demande ce qui a pu les faire émerger ....pour n'en citer que trois concernant Vallon (qui est la ville choisie pour implanter l'ERGC):
- Le projet de jeter au ruisseau les 37m3/h de la source du Tiourre qui alimente Vallon en eau. Une eau naturellement saine (peu d'habitants et pas d'animaux sur le bassin)filtrée par le calcaire du sol, qui alimente vallon par gravité donc avec un minimum de frais.... à laquelle on a préféré une eau de ruissellement ( qui se charge de tous les éléments solubles) et d'égouts, filtrée et distribuée à grands frais....il aura fallu une contamination du réseau de la Fontaulière, qui alimente aussi Vallon, pour que ce projet avorte.
- la coupe rase de la forêt du Tiourre ( appartenant à la commune de Vallon). Coupe rase c'est à dire que tous les pins d'alep y sont passés , alors que cette plantation de résineux résistants à la sécheresse était unique en Ardèche méridionale et digne de servir repère à une époque où la sécheresse fait crever nos espèces locales comme le chêne vert. Et le comble dans tout cela cette coupe a été faite à une époque ou le marché regorgeait de bois, du fait de ces choix, ce fut donc une coupe sous-rémunérée, pour laquelle Vallon n'a pas touché ce qu'elle aurait dû, ni ce qu'elle était en droit d'attendre.
-lasolution du mini parking sur l'ERGC lien:http://dentderez.joueb.com/news/quels-parkings-sur-l-espace-de-restitution-de-la-grotte-chauvet
Autant on peut comprendre qu'il y ait une certaine discrétion lorsqu'il y a des négociations, autant il est difficile d'accepter le culte du secret qui entoure les accords lorsqu'ils sont conclus, ce qui semble être "monnaie courante" ici.
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RESTER SECRET? Pourquoi garder secret un accord qui confirme les droits des inventeurs, et précise les conditions financières qui lient les découvreurs et l'état via le département, alors que le publier, c'est dans la logique et la normalité des choses? Pourquoi , et bien vous avez eu la réponse à plusieurs reprises dans la presse, laisser croire que TOUT le côté pécunier de l'affaire puisse être négocié, alors que pour l'intéressement des découvreurs à l'exploitation de l'espace de restitution, il est fixé par cet accord de février 2000.( et ses modalités d'application).
Nous avons pu nous procurer cet accord de février 2000, avec difficultés mais sans soudoyer personne, et nous l'avons publié, pour que la lumière soit faite sur cette opération.
Et l'AUTRE SECRET qui lui s'est encore moins ébruité.
C'est celui qui lie le smergc et les écologistes spécialistes des migrateurs qui ont fait migrer l'espace de restitution depuis les bords de l'ibie jusqu'en haut du Razal, et lui ont mis un fil à la patte...
Un est connu: le classement du premier site choisi pour construire l'espace de restitution (sur la vallée de l'ibie) d'abord en zone de protection de biotope, puis en zone NATURA 2000, c’est le département qui ne sachant plus que faire de ses terrains a accepté de satisfaire les revendications des écologistes opposés au premier projet ERGC en ce lieu, et par la même occasion, s’attirer leurs bonnes grâces pour le second projet.
Et puis il y a des décisions qui dépassent l'entendement, qui font fi de la logique, et pour lesquelles on se demande ce qui a pu les faire émerger ....pour n'en citer que trois concernant Vallon (qui est la ville choisie pour implanter l'ERGC):
- Le projet de jeter au ruisseau les 37m3/h de la source du Tiourre qui alimente Vallon en eau. Une eau naturellement saine (peu d'habitants et pas d'animaux sur le bassin)filtrée par le calcaire du sol, qui alimente vallon par gravité donc avec un minimum de frais.... à laquelle on a préféré une eau de ruissellement ( qui se charge de tous les éléments solubles) et d'égouts, filtrée et distribuée à grands frais....il aura fallu une contamination du réseau de la Fontaulière, qui alimente aussi Vallon, pour que ce projet avorte.
- la coupe rase de la forêt du Tiourre ( appartenant à la commune de Vallon). Coupe rase c'est à dire que tous les pins d'alep y sont passés , alors que cette plantation de résineux résistants à la sécheresse était unique en Ardèche méridionale et digne de servir repère à une époque où la sécheresse fait crever nos espèces locales comme le chêne vert. Et le comble dans tout cela cette coupe a été faite à une époque ou le marché regorgeait de bois, du fait de ces choix, ce fut donc une coupe sous-rémunérée, pour laquelle Vallon n'a pas touché ce qu'elle aurait dû, ni ce qu'elle était en droit d'attendre.
-lasolution du mini parking sur l'ERGC lien:http://dentderez.joueb.com/news/quels-parkings-sur-l-espace-de-restitution-de-la-grotte-chauvet
Autant on peut comprendre qu'il y ait une certaine discrétion lorsqu'il y a des négociations, autant il est difficile d'accepter le culte du secret qui entoure les accords lorsqu'ils sont conclus, ce qui semble être "monnaie courante" ici.
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Ecrit par Les voisins de l'ERGC., le Dimanche 2 Février 2014, 22:14 dans la rubrique GROTTE CHAUVET.
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