L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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SEMENCIERS OGM = des SEMEURS D'EMBROUILLES, qui devront un jour assumer les dommages créés par le pollen OGM
Une réflexion sur la responsabilité de ceux qui créent et diffusent des OGM.
Le petit français ( parfois casqué ou scooterisé, puisque c'est la mode) qui mène une vie de patachon et qui sème à tout va ses gamètes, finit un jour par se voir rattrapé par les bénéficiaires de ses exploits et le fruit de ses amours .. pour assumer sa paternité et ses responsabilités. C'est normal on est en France !
Que se passe t il dans la version végétale de ce type d'exploits, de chaque côté de l'Atlantique?
Aux USA un cultivateur qui avait vu son champs contaminé par du pollen de semences OGM, et qui avait porté plainte contre Monsanto à été condamné par la cour de justice américaine, car ses céréales avaient du coup acquis des gènes OGM, dont Monsanto possède les droits.....Normal c'est les USA
Que se passerait il en France dans les mêmes conditions ?
Chez nous on dispose de beaucoup de libertés ( même si c'est de moins en moins),mais cette liberté s'arrête là où elle nuit à autrui.
Pour le semeur d'OGM, le pollen normal n'a pas d'effet néfaste sur sa production, et il est conscient qu'il devra racheter des semences l'année suivante.
Pour le cultivateur qui utilise des semences normales, le pollen OGM va fertiliser une partie de son champs et sa production sera contaminés par des gènes modifiés ....et il ne pourra utiliser sa production pour ressemer car elle sera infertile. Les dommages sont donc pour le producteur non OGM. Qui dit dommages dit compensations ou bien réglementations pour séparer les productions
De même que celui qui sème des semences normales devrait pouvoir obtenir la garantie de ne pas être contaminé par des OGM, le consommateur lui même qui n'accepte pas de manger des OGM devrait pouvoir obtenir satisfaction.
Situation délicate , car il faudrait isoler ces production , pour éviter la diffusion anémophile ( par le vent) et le peu d'abeilles qui restent sur nos territoires.
Espérons que le bon sens, ou à défaut la justice y retrouveront leurs petits, ou plutôt les petits de chacun.
Le petit français ( parfois casqué ou scooterisé, puisque c'est la mode) qui mène une vie de patachon et qui sème à tout va ses gamètes, finit un jour par se voir rattrapé par les bénéficiaires de ses exploits et le fruit de ses amours .. pour assumer sa paternité et ses responsabilités. C'est normal on est en France !
Que se passe t il dans la version végétale de ce type d'exploits, de chaque côté de l'Atlantique?
Aux USA un cultivateur qui avait vu son champs contaminé par du pollen de semences OGM, et qui avait porté plainte contre Monsanto à été condamné par la cour de justice américaine, car ses céréales avaient du coup acquis des gènes OGM, dont Monsanto possède les droits.....Normal c'est les USA
Que se passerait il en France dans les mêmes conditions ?
Chez nous on dispose de beaucoup de libertés ( même si c'est de moins en moins),mais cette liberté s'arrête là où elle nuit à autrui.
Pour le semeur d'OGM, le pollen normal n'a pas d'effet néfaste sur sa production, et il est conscient qu'il devra racheter des semences l'année suivante.
Pour le cultivateur qui utilise des semences normales, le pollen OGM va fertiliser une partie de son champs et sa production sera contaminés par des gènes modifiés ....et il ne pourra utiliser sa production pour ressemer car elle sera infertile. Les dommages sont donc pour le producteur non OGM. Qui dit dommages dit compensations ou bien réglementations pour séparer les productions
De même que celui qui sème des semences normales devrait pouvoir obtenir la garantie de ne pas être contaminé par des OGM, le consommateur lui même qui n'accepte pas de manger des OGM devrait pouvoir obtenir satisfaction.
Situation délicate , car il faudrait isoler ces production , pour éviter la diffusion anémophile ( par le vent) et le peu d'abeilles qui restent sur nos territoires.
Espérons que le bon sens, ou à défaut la justice y retrouveront leurs petits, ou plutôt les petits de chacun.
Ecrit par nous écologistes de terrain, le Jeudi 8 Mai 2014, 16:33 dans la rubrique Agriculture.
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