L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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NATURA 2000, nous association dentderez...et un territoire sous influence, celui des gorges de l'Ardèche.
L'autorité administrative nous perçoit comme des opposants au projet n2000, alors que nous sommes les conservateurs d'un territoire que nous ont légué les générations précédentes et dont nous perpétuons tant bien que mal les activités, en un mot nous sommes des écologistes de terrain attachés à la pérennité des activités sur de ce terroir
Ce qui nous fait réagir c'est le comportement de ceux qui, à l'occasion de cette opération natura2000, surgis de toute part veulent acquérir la maîtrise de nos territoires , et décider des activités que nous serions "tolérés ou non" à pratiquer chez nous...
Tous ces individus ont trouvé chez nous un nouvel eldorado, comme "au temps béni des colonies" pour assouvir leur instinct de domination, sous de faux prétextes.... seulement nous ne sommes pas des Africains que l'on amuse avec trois babioles.
Ces inconnus qui "se" sont invités chez nous,veulent obtenir la maîtrise du territoire, c'est à dire, pouvoir faire chez nous ce qu'ils veulent, à notre insu, contre notre avis, sans prendre la mesure des effets des opérations qu'ils nous imposent ou préconisent, et le pire c'est que nous devrions en assumer les responsabilités . À titre d'exemple, on nous interdit de boiser les espaces ouverts ( cette décision à été prise en l'absence des sylviculteurs privés, l'ONF qui était présente échappe à cette interdiction) . Autre exemple,on nous demande de laisser sur pied les grands arbres morts pour nourrir la faune xylophage( ce qui favorise sa prolifération, et qui pour nous est néfaste) mais la responsabilité en cas de chute nous incombe.
Ces invités bien malgré nous, veulent aussi décider des activités, pas seulement sportives ou liées au tourisme ( ces dernier bénéficient d'une immunité pas que diplomatique) mais aussi celles qui sont les nôtres. À titre d'exemple , le préfet prend un arrêté pour réglementer ( avec procés verbaux à la clef), la cueillette de lavandes par 3 cultivateurs sur la dent de rez, on atteint là le summum du scandaleux : quel peut être l'impact sur la nature de 3 agriculteurs ( qui ont de tout temps fait cela. ) par rapport à l'impact des milliers de touristes qui fréquentent les gorges. Autre sujet d'inquiétude pour les propriétaires forestiers des gorges, pourront ils un jour exploiter leur forêt? rien n'est plus incertain, quand on lit les contraintes imposées par les arrêtés préfectoraux successifs et le procès intenté à un propriétaire pour avoir élargi un chemin au fond des gorges.
Peut on imaginer que cela puisse durer?
Ce qui nous fait réagir c'est le comportement de ceux qui, à l'occasion de cette opération natura2000, surgis de toute part veulent acquérir la maîtrise de nos territoires , et décider des activités que nous serions "tolérés ou non" à pratiquer chez nous...
Tous ces individus ont trouvé chez nous un nouvel eldorado, comme "au temps béni des colonies" pour assouvir leur instinct de domination, sous de faux prétextes.... seulement nous ne sommes pas des Africains que l'on amuse avec trois babioles.
Ces inconnus qui "se" sont invités chez nous,veulent obtenir la maîtrise du territoire, c'est à dire, pouvoir faire chez nous ce qu'ils veulent, à notre insu, contre notre avis, sans prendre la mesure des effets des opérations qu'ils nous imposent ou préconisent, et le pire c'est que nous devrions en assumer les responsabilités . À titre d'exemple, on nous interdit de boiser les espaces ouverts ( cette décision à été prise en l'absence des sylviculteurs privés, l'ONF qui était présente échappe à cette interdiction) . Autre exemple,on nous demande de laisser sur pied les grands arbres morts pour nourrir la faune xylophage( ce qui favorise sa prolifération, et qui pour nous est néfaste) mais la responsabilité en cas de chute nous incombe.
Ces invités bien malgré nous, veulent aussi décider des activités, pas seulement sportives ou liées au tourisme ( ces dernier bénéficient d'une immunité pas que diplomatique) mais aussi celles qui sont les nôtres. À titre d'exemple , le préfet prend un arrêté pour réglementer ( avec procés verbaux à la clef), la cueillette de lavandes par 3 cultivateurs sur la dent de rez, on atteint là le summum du scandaleux : quel peut être l'impact sur la nature de 3 agriculteurs ( qui ont de tout temps fait cela. ) par rapport à l'impact des milliers de touristes qui fréquentent les gorges. Autre sujet d'inquiétude pour les propriétaires forestiers des gorges, pourront ils un jour exploiter leur forêt? rien n'est plus incertain, quand on lit les contraintes imposées par les arrêtés préfectoraux successifs et le procès intenté à un propriétaire pour avoir élargi un chemin au fond des gorges.
Peut on imaginer que cela puisse durer?
Ecrit par nous écologistes de terrain, le Vendredi 6 Juin 2014, 22:59 dans la rubrique NATURA 2000.
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