L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
Vous pouvez nous rejoindre aussi sur Facebook , contact: Asso Dentderez
QUI TIRE PARTI DE L'OPÉRATION NATURA 2000 ET AU DÉTRIMENT DE QUOI ?
Chacune des équipes qui ont tenu les rennes de l'opération natura 2000 , l'ont fait à leur façon et pour des raisons qui leurs sont propres .
Le premier gestionnaire de la zone natura 2000 des gorges de l'Ardèche, fut le préfet et le service de l'environnement de la préfecture. Son objectif prioritaire était la conservation du territoire , de la faune et de la flore protégée qui y vit.... Ce fut le décideur et généreux distributeur des fonds européens à de nombreuses associations et prestataires ....( explications à suivre) , ce fut celui qui a dérobé la gestion de la faune et de la flore à ceux qui depuis toujours s'en occupaient : propriétaires et exploitants agricoles, forestiers, cynégétique ( explications déjà publiées) ce fut celui aussi qui a exclu ces derniers ( sauf ACCA) des comités de pilotage pendant quelques années, pour avoir les coudées franches.( voir archives)
Le deuxième gestionnaire fut le sigarn( syndicat intercommunal des gorges de l'Ardèche et de leur région naturelle ) qui est une émanation des élus des communes , donc plus près des citoyens.
L'objectif des élus est de satisfaire " L'INTÉRÊT GÉNÉRAL", c'est à dire donner satisfaction à un maximum de leurs citoyens de toutes couleurs politiques et quelles que soient leurs activités....C'est à dire chez nous en sud Ardèche, le tourisme de loisir, le tourisme sportif et le tourisme de nature, pourvoyeurs d'emplois et de consommation locale, ce que nous soutenons .
La victime majeure de cette opération est la LIBERTÉ individuelle ( de gestion du territoire,de choix de travail de déplacement , et de prélèvement de ce que produit ce territoire) dont jouissaient les locaux . Cette liberté à été transférée aux comités de pilotage ( où les associations de propriétaires sont très minoritaire : 4% des membres) et aux nouveaux utilisateurs.
Cette perte de liberté n'est pas une vue de l'esprit : matérialisée chez nous, au départ, sous la forme d'un arrété de protection de biotope draconien ( selon nous injustifié) avec 17 servitudes et interdictions , suivi de deux arrêtés préfectoraux , ce qui porte à 63 le nombre de servitudes environnementales.
Le premier gestionnaire de la zone natura 2000 des gorges de l'Ardèche, fut le préfet et le service de l'environnement de la préfecture. Son objectif prioritaire était la conservation du territoire , de la faune et de la flore protégée qui y vit.... Ce fut le décideur et généreux distributeur des fonds européens à de nombreuses associations et prestataires ....( explications à suivre) , ce fut celui qui a dérobé la gestion de la faune et de la flore à ceux qui depuis toujours s'en occupaient : propriétaires et exploitants agricoles, forestiers, cynégétique ( explications déjà publiées) ce fut celui aussi qui a exclu ces derniers ( sauf ACCA) des comités de pilotage pendant quelques années, pour avoir les coudées franches.( voir archives)
Le deuxième gestionnaire fut le sigarn( syndicat intercommunal des gorges de l'Ardèche et de leur région naturelle ) qui est une émanation des élus des communes , donc plus près des citoyens.
L'objectif des élus est de satisfaire " L'INTÉRÊT GÉNÉRAL", c'est à dire donner satisfaction à un maximum de leurs citoyens de toutes couleurs politiques et quelles que soient leurs activités....C'est à dire chez nous en sud Ardèche, le tourisme de loisir, le tourisme sportif et le tourisme de nature, pourvoyeurs d'emplois et de consommation locale, ce que nous soutenons .
La victime majeure de cette opération est la LIBERTÉ individuelle ( de gestion du territoire,de choix de travail de déplacement , et de prélèvement de ce que produit ce territoire) dont jouissaient les locaux . Cette liberté à été transférée aux comités de pilotage ( où les associations de propriétaires sont très minoritaire : 4% des membres) et aux nouveaux utilisateurs.
Cette perte de liberté n'est pas une vue de l'esprit : matérialisée chez nous, au départ, sous la forme d'un arrété de protection de biotope draconien ( selon nous injustifié) avec 17 servitudes et interdictions , suivi de deux arrêtés préfectoraux , ce qui porte à 63 le nombre de servitudes environnementales.
Ecrit par nous écologistes de terrain, le Samedi 30 Juillet 2016, 06:13 dans la rubrique NATURA 2000.
Repondre a cet article
Version XML - Cette page est peut-être encore valide XHTML1.1 et CSS sans tableaux.