L'ÉCHO DE LA DENT DE REZ
La gazette impertinente des conservateurs du massif de la dent de rez / site natura2000 des gorges de l'Ardèche et de leurs plateaux
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QUEL RÔLE ENTEND T ON FAIRE JOUER AUX COPROPRIÉTAIRES DE LA ZONE NATURA 2000 DES GORGES DE L'ARDÈCHE ET DE LEURS PLATEAUX?
--> Les propriétaires et les consommateurs de sport, de loisir, de nature d'une part, et les gêneurs de l'écologie.
Il est définitivement révolu, le temps de ceux qui donnaient de la vie à ce territoire par leur travail, le temps de ceux dont les troupeaux de moutons entretenaient l'espace . Il est fini le temps des bergers , et des charbonniers, qui vivaient de ce que produisait ce territoire, ils ont laissé place à d'autres utilisateurs, principalement saisonniers.
Que sont devenus les familles d'exploitants de ce territoire?
Elles sont devenus au fil du temps , des prêteurs d'AIRES DE JEU pour le monde du loisir, des prêteurs de TERRAINS DE SPORT pour le monde sportif. Tout ce beau monde bénéficie de l'aubaine que constituent ces territoires, laissés à leur disposition. Ce monde là, n'a pas d'exigences particulières, il se satisfait de ce dont il profite, et la cohabitation avec les détenteurs du sol se passe bien, hormis les rares cas de dégradations de ce sol dans les zones hyperfrequentées (ceci est un reproche des naturalistes) et l'éternel problème bien français des déchets parsemés sur ce même sol.( reproche de ceux qui passent après le boum estival)
Il faut essayer de comprendre que ces utilisateurs là sont des consommateurs, et oui, des CONSOMMATEURS à qui des organismes touristiques ont VANTÉ ce territoire pour les faire venir, et à qui des commerciaux on VENDU des prestations sur ce territoire, et ces derniers ont du "mal" à assurer le service après vente( pour dire les choses à demi mots!)
Ces facilités que les copropriétaires de ce territoire accordent aux amateurs de sport et de loisir, ont fait des envieux dans le monde de l'écologie, si bien que leurs militants se sont mis en tête d'obtenir eux aussi le prêt de TERRAINS D'EXPÉRIMENTATIONS , pour leur propre usage. Mais eux , ont des EXIGENCES , à la fois TERRITORIALES ( ils veulent AVOIR LA MAÎTRISE de l'ensemble de la zone natura 2000, c'est d'ailleurs le thème majeur de cette opération), "CULTURELLES" ( imposer aux locaux, leur propre culture, leur façon de voir les choses) et AGRICULTURALES ( décider de ce que les exploitants pourront cueillir ou cultiver, et quand et comment ils pourront le faire, c'est par exemple le cas pour les coupes de bois, et la cueillette sur la dent de rez) ... et là on atteint l'intolérable, accepter cela, c'est demander aux locaux de RENONCER À LEUR PROPRE CULTURE et à LEURS TRADITIONS. Il ne faudrait pas oublier que les paysans ont été les ecologistes de la première heure, (à une époque où la nature ne trouvait grâce aux yeux de personne,), et que ce sont eux et eux seuls qui pendant des générations ont géré la faune et la flore sauvage , et bien plus sagement et avec moins d'erreurs que le font ceux qui la gèrent aujourd'hui.
Il faut comprendre que ces envieux là ne sont pas des consommateurs, mais des partisans de l'écologie lucrative pour qui les territoires protêgés sont un " eldorado" source de revenus pour leurs associations et de promotion pour leurs activistes, qui veulent en faire un sanctuaire écologiste...Pour être clair, à ceux là , ils n'ont rien à leur prêter, ni à leur vendre. Les détenteurs du foncier ont beau être tolérants, et ils l'ont été au delà du raisonnable, cette situation ne peut pas continuer. Chaque nouvelle année leur apporte son lot de nouvelles contraintes, aujourd'hui sur ce massif, ils supportent 64 servitudes environnementales, et c'en est trop!
Les élus vont ils un jour prendre conscience ce cette situation, et mettre un terme à cette inflation permanente de contraintes ?
Article à suivre : Nous avons l'habitude de recevoir chez nous des gens qui apprécient notre compagnie et notre travail ...
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Que sont devenus les familles d'exploitants de ce territoire?
Elles sont devenus au fil du temps , des prêteurs d'AIRES DE JEU pour le monde du loisir, des prêteurs de TERRAINS DE SPORT pour le monde sportif. Tout ce beau monde bénéficie de l'aubaine que constituent ces territoires, laissés à leur disposition. Ce monde là, n'a pas d'exigences particulières, il se satisfait de ce dont il profite, et la cohabitation avec les détenteurs du sol se passe bien, hormis les rares cas de dégradations de ce sol dans les zones hyperfrequentées (ceci est un reproche des naturalistes) et l'éternel problème bien français des déchets parsemés sur ce même sol.( reproche de ceux qui passent après le boum estival)
Il faut essayer de comprendre que ces utilisateurs là sont des consommateurs, et oui, des CONSOMMATEURS à qui des organismes touristiques ont VANTÉ ce territoire pour les faire venir, et à qui des commerciaux on VENDU des prestations sur ce territoire, et ces derniers ont du "mal" à assurer le service après vente( pour dire les choses à demi mots!)
Ces facilités que les copropriétaires de ce territoire accordent aux amateurs de sport et de loisir, ont fait des envieux dans le monde de l'écologie, si bien que leurs militants se sont mis en tête d'obtenir eux aussi le prêt de TERRAINS D'EXPÉRIMENTATIONS , pour leur propre usage. Mais eux , ont des EXIGENCES , à la fois TERRITORIALES ( ils veulent AVOIR LA MAÎTRISE de l'ensemble de la zone natura 2000, c'est d'ailleurs le thème majeur de cette opération), "CULTURELLES" ( imposer aux locaux, leur propre culture, leur façon de voir les choses) et AGRICULTURALES ( décider de ce que les exploitants pourront cueillir ou cultiver, et quand et comment ils pourront le faire, c'est par exemple le cas pour les coupes de bois, et la cueillette sur la dent de rez) ... et là on atteint l'intolérable, accepter cela, c'est demander aux locaux de RENONCER À LEUR PROPRE CULTURE et à LEURS TRADITIONS. Il ne faudrait pas oublier que les paysans ont été les ecologistes de la première heure, (à une époque où la nature ne trouvait grâce aux yeux de personne,), et que ce sont eux et eux seuls qui pendant des générations ont géré la faune et la flore sauvage , et bien plus sagement et avec moins d'erreurs que le font ceux qui la gèrent aujourd'hui.
Il faut comprendre que ces envieux là ne sont pas des consommateurs, mais des partisans de l'écologie lucrative pour qui les territoires protêgés sont un " eldorado" source de revenus pour leurs associations et de promotion pour leurs activistes, qui veulent en faire un sanctuaire écologiste...Pour être clair, à ceux là , ils n'ont rien à leur prêter, ni à leur vendre. Les détenteurs du foncier ont beau être tolérants, et ils l'ont été au delà du raisonnable, cette situation ne peut pas continuer. Chaque nouvelle année leur apporte son lot de nouvelles contraintes, aujourd'hui sur ce massif, ils supportent 64 servitudes environnementales, et c'en est trop!
Les élus vont ils un jour prendre conscience ce cette situation, et mettre un terme à cette inflation permanente de contraintes ?
Article à suivre : Nous avons l'habitude de recevoir chez nous des gens qui apprécient notre compagnie et notre travail ...
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Ecrit par nous écologistes de terrain, le Lundi 29 Septembre 2014, 00:13 dans la rubrique Droit de propriété.
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